Un petit macchab’, un petit oiseau s’aimaient d’amour tendre… :
Place André-Malraux (Paris Ier), le 5/11/2014.
Les curieuses créations que les galeries parisiennes présentent comme de l’art contemporain, c’est quand même souvent du grand n’importe quoi…
Tant de mauvais goût en une seule œuvre… Pauvres petits oiseaux !
À vomir, oui, purement et simplement… sentiment de dégoût qu’exprime, sans ambiguïté, la statue exposée juste à côté :
Place André-Malraux (Paris Ier), le 5/11/2014.
Le spleen de Paris est une fête 
Plutôt que « d’art contemporain », je parlerais volontier d’art contempoRIEN, c’est plus à même de qualifier correctement la teneur et la valeur de ce qu’on veut nous vendre depuis bon nombre d’année comme de l’art « subversif » qui n’est, en fin de compte, que du caca mental dans la plupart des cas.
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Ite missa est. Céline avait tout compris il y a fort longtemps : « La merde a de l’avenir, vous verrez qu’un jour on en fera des discours… »
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En 1961, Piero Manzoni a édité 90 boîtes de conserve de « Merde d’artiste », numérotées et étiquetées, contenant ses excréments. Elles sont aujourd’hui dans les collections des plus grands musées du monde.
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Quod erat demonstrandum : la merde a de l’avenir…
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De « l’art comptant pour rien », en somme !
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